Quelques acteurs des droits humains demandent au parlement de pouvoir interpeller rapidement le vice-premier ministre et ministre de l’intérieur.
Il est reproché à Daniel Aselo une ingérence dans le travail des assemblées provinciales et le chao entretenu dans plusieurs provinces.
C’est particulièrement les provinces du Sud-Kivu, du Maniema et du Sankuru, au travers des décisions intempestives à l’encontre des normes démocratiques.
Au gouvernement, de prendre des mesures pour limiter l’interférence du vice-ministre et ministre de l’intérieur dans la gestion des provinces, particulièrement à l’égard du travail des assemblées provinciales.
L’un des défenseurs des droits humain demande aux services de sécurité et particulièrement la police, l’Agence Nationale de Renseignement et la justice d’éviter de servir de marchepieds aux politiciens et autorités politico-administratives qui recourent à eux pour couvrir leur mauvaise gouvernance ou pour se maintenir au pouvoir en violation des textes et lois de la république car cela maintiennent les violations des droits humains ;
Et finalement, les DDH entendent enclencher des enquêtes et des procédures judiciaires à l’endroit des personnes citées par nombreux rapports de PPI comme auteures des violations et abus contre les DDH, journalistes et activistes pro démocratie dans plusieurs provinces du pays.
- Ben Mugisho