Mme Marianne Mujing Yav Muland, candidate 2ème VP de l'UNPC
Marianne plaide pour la liberté de la presse. Elle est partie des analyses sur les menaces qui pèsent sur la liberté de la presse en RDC à travers les censures, l’autocensure, les pressions économiques et les conséquences pour les sociétés.
Historiquement, les femmes ont été sous-représentées dans les rédactions, ce qui a pu entraîner une vision biaisée de l’actualité et une moindre prise en compte des enjeux spécifiques aux femmes.
Les femmes journalistes peuvent être confrontées à des stéréotypes sexistes et à des harcèlements, ce qui peut limiter leur liberté d’expression et leur capacité à exercer leur métier. C’est ce combat que la candidate Marianne veut mener et si une fois elle avait la chance de passe comme deuxième Vice-Présidente de l’Union.
« La presse responsable permet de donner une voix aux femmes et de défendre leurs droits, notamment en matière d’égalité et de santé reproductive », déclare-t-elle.
En choisissant la profession de journaliste, les femmes peuvent contribuer à diversifier les voix dans les médias et à promouvoir une représentation plus équitable de la société. Elles peuvenet également rejoindre des associations qui luttent pour la liberté de la presse et pour une information de qualité permet de participer à des actions collectives et de faire entendre sa voix.
Selon Mujing Yav, les réseaux sociaux sont des outils puissants pour dénoncer les fausses informations, les biais sexistes et les atteintes à la liberté de la presse. ‘En tant que consommatrices d’information, les femmes peuvent encourager les médias à diversifier leurs équipes et à donner la parole à des femmes journalistes.Combattre les stéréotypes : Il faut lutter contre les idées reçues sur le rôle des femmes dans les médias et promouvoir une image plus positive des femmes journalistes.
« Il est important de créer des réseaux de soutien entre femmes journalistes afin de favoriser les échanges, les partages d’expérience et la solidarité », souhaite-t-elle en ajoutant que les femmes et les hommes ont un rôle crucial à jouer dans la construction d’une presse responsable et digne. En s’engageant à différents niveaux, elles peuvent contribuer à améliorer la qualité de l’information, à promouvoir l’égalité des genres et à renforcer la démocratie.
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